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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 11:02
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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 20:20

Paris, 21 janvier 2013 - " Réindustrialiser le monde rural pour sortir de la crise ", voici ce que propose Pascal JACOB  à l'occasion d'une interview accordée au Courrier du Parlement (Dossier des territoires - Février 2013 - Pauline Pouzankov).


 Courrier parlement

 

Selon le Président du MEDEF Bourgogne, l'avenir économique des territoires ruraux passera obligatoirement par l'implantation de projets industriels structurants pour surmonter la crise, seule véritable solution pour dynamiser l'emploi, conserver la jeunesse dans ces territoires ruraux et gagner en attractivité. De surcroît, ces projets font prospérer d’autres branches économiques existantes d'un territoire à l'échelle régionale tels que les services, la logistique, la maintenance industrielle, la construction et impactent positivement la création d'emplois indirects et induits.

 

Télécharger l'intégralité de l'interview de Pascal Jacob

 

Le Courrier du Parlement

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15 juin 2012 5 15 /06 /juin /2012 10:11

Paris, 12 juin 2012 - Retour sur le reportage diffusé au 20h de France du 1er juin 2012 : l'arrivée des clients chinois sur le marché français des bois ronds. Les résineux sont dorénavant concernés ...

 


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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 14:14

Interview de Pascal JACOB,
Directeur Général d'ERSCIA FRANCE

Propos recueillis par Denis CHAUMEREUIL, Le Journal du Centre


Nevers, 24 avril 2012


Le JDC - Pascal JACOB, vous travaillez depuis plusieurs années pour l'installation de votre pôle industriel « bois énergie et bois transformé » à Sardy-Lès-Epiry, où en est l’avancement du dossier ? 

Pascal Jacob : « Je peux vous annoncer aujourd’hui que notre société ERSCIA France ainsi que notre partenaire l’aménageur du lotissement industriel de Sardy-Lès-Epiry, Nièvre Aménagement, disposent dorénavant de l’ensemble des autorisations administratives permettant la réalisation de ce projet. Le Préfet de la Nièvre vient, en effet, de signer l’intégralité des arrêtés, dont le permis de construire, nécessaires au démarrage des travaux. C’est donc une étape déterminante qui vient d’être
franchie. »


Le JDC - Pourquoi avez-vous choisi la Nièvre ? 

Pascal Jacob : « Je suis Nivernais, et je le resterai. J’ai toujours considéré que ce département dispose d’une carte majeure en terme de développement économique autour de la filière bois, dont nous parlons depuis 30 ans, et qui doit s’organiser autour de projets structurants c’est à dire impactant sur l’ensemble de l’économie régionale. J’ai donc à cœur que notre département accueille ce qui deviendra le plus important pôle énergie-transformation du bois en France. 
 

Ce projet nous le tenons bel et bien, grâce à la volonté d’actionnaires industriels qui ont été convaincus par les avantages qu’offrent notre territoire : situation géographique centrale par rapport aux marchés de produits finis, mais aussi par rapport à la ressource forestière, disponibilités d’un site de 100 hectares, ce qui n’est pas très évident à obtenir à l’échelle de la France, proximité d’infrastructures déterminantes : le rail importe beaucoup bien sûr, mais également quatre axes routiers et autoroutiers. Bref des atouts uniques pour permettent la réussite d’un tel pôle. La Nièvre, dont l’histoire industrielle est riche, dispose maintenant des clés pour renouer avec son illustre passé et engager une réindustrialisation autour de la première et seconde transformation du bois et de la production d’énergie verte. 

 

J’ajoute qu’un autre élément a été déterminant pour ce choix d’implantation : les élus locaux ont compris très tôt l’intérêt économique d’un tel projet pour le territoire nivernais ».


Le JDC - Comment le projet a-t-il été accueilli par les pouvoirs publics et les élus ?

Pascal Jacob : «  Très bien. Les services de l’Etat ont été exemplaires dans le suivi de ce dossier. La mise en place d’un Comité de Pilotage en février 2010 par le Préfet de la Nièvre et co-présidé par Jean-Paul Magnon, Vice-Président du Conseil Général, a grandement facilité le travail à la fois des services de l’état, de l’aménageur, des différents bureaux d’études et de l’équipe projet d’ERSCIA France. Par ailleurs, le très fort soutien des élus locaux et nationaux, également intégrés à ce Comité de Pilotage a naturellement été déterminant. Cette collaboration avec les élus associée avec la transparence que nous avons souhaité dans cette phase préparatoire a très largement contribué à la réussite de l’intégration de cette future implantation sur le territoire nivernais en tenant compte de tous les critères locaux, notamment et surtout les préoccupations de la
population et celles du voisinage du site ».

 

Le JDC - Quels bénéfices pour le département et la région ? 

Pascal Jacob : « L’impact du projet de Sardy-Lès-Epiry sera très fort sur l’économie départementale,régionale et même nationale dans le domaine du bois et de l’énergie verte. En effet, il ne faut pas classer ce projet comme simplement une scierie, mais bien comme un véritable complexe industriel intégré associant la production d’électricité verte, la production de biocombustibles (pellets en bois) destinés aux autres centrales électrothermiques ainsi qu'aux particuliers et la première transformation du bois (sciages de résineux).

Ce complexe attirera naturellement plusieurs autres industriels de la seconde transformation du bois déjà identifiés et qui s’implanterontdans un avenir proche, sur le site même de Sardy dimensionné pour les accueillir. Ces industriels visés opèrent sur les marchés des bois massifs reconstitués, des isolants thermiques naturels et des composants structuraux destinés à la construction. Ainsi, ce pôle intégré pèsera fortement sur les emplois locaux : 120 emplois directs et 250 emplois indirects seront créés à terme avec l’arrivée d’ERSCIA et plusieurs centaines d’autres dans la Nièvre en fonction des implantations à venir. C’est donc toute l’économie locale qui sera concernée : entreprises de transport, de maintenance industrielle mais également les commerces, les écoles, les services, les organismes de formations professionnelles, … ».

 

 

Le JDC - Comment s’organisera le site, son fonctionnement, comment seront réparties les différentes unités de productions ? D’où vient le bois ? 



Pascal Jacob : «  Le site de Sardy disposera d’équipements à la hauteur de l’importance du projet notamment le raccordement au réseau ferré, des infrastructures de circulation adaptées, la fibre optique etc. Il sera composé de deux zones distinctes : l’une d’une soixantaine d’hectares destinée aux trois activités d’ERSCIA et l'autre partie de la zone, qui sera divisée en plusieurs lots qui seront mis à disposition des futurs industriels. Concernant les approvisionnements,qu’ils soient relatifs aux grumes, à la biomasse et aux bois en fin de vie, ils proviendront de zones géographiques situées en moyenne dans un rayon de 250 km du site. 80% de nos grumesproviendront de massifs forestiers extérieurs à la Bourgogne. Afin de limiter le trafic routier et son impact sur l’environnement, le transport par rail sera fortement privilégié ». 

 

Le JDC - Cela va t-il changer le quotidien des habitants de Sardy-Les-Epiry ? Créer des nuisances?


Pascal Jacob : « Le projet de Sardy-lès-Epiry est exemplaire d’un point de vue environnemental. Rappelons tout d’abord que l’ensemble du site est assujetti à un arrêté ICPE (Installation Classés Pour l’Environnement) délivré par le Préfet de la Nièvre. Ce document fixe les conditions règlementaires dans lesquelles l’autorisation de l’administration s’applique à notre société dans le cadre de l’exploitation de notre pôle de sciage incluant une unité de co-génération. Par ailleurs, je tiens àrappeler que notre ligne de production d’énergie utilisera uniquement des résidus de bois résultants en grande partie de notre production et des déchets de bois non-dangereux. En aucun cas donc d’autres catégories de déchets ne pourront être utilisées tels que, par exemple, des déchets municipaux totalement hors du cadre de l’autorisation qui nous a été accordée. 


J’ajoute également qu’en aucun cas notre installation de traitement thermique de déchets non-dangereux ne peut être assimilée, ni de près ni de loin, à un incinérateur de déchets ménagers par exemple. Il importe également de mentionner que les services environnementaux spécialisés de l’administration superviseront, en parallèle de nos autocontrôles permanents, toutes les activités d’ERSCIA ce qui permettra de s’assurer en continu que la règlementation dans le domaine environnemental sera suivie à la lettre. Enfin, en termes de trafic routiers, quitte à me répéter, nous privilégierons au maximum l’utilisation du réseau ferré aussi bien pour les matériaux entrants que pour l’évacuation de nos produits finis. Naturellement ce point a été analysé de très près par les autorités administratives compétentes conduisant à un avis positif de celles-ci. »


Le JDC -  Comment être sûr que ce pôle va bien fonctionner et bien se développer 

Pascal Jacob : « L’expérience de notre entreprise est très importante dans le secteur de la scierie, de la production de pellets et celui de la cogénération biomasse bois. Elle dispose de sa propre équipe d’ingénieurs spécialisés dans le secteur de l’énergie. Par ailleurs, le site de Sardy-Lès-Epiry sera, dans les grandes lignes, une duplication de notre site situé en Belgique qui fonctionne parfaitement depuis quatre années. Par ailleurs, nous réalisons également d’autres opérations pour le compte d’industriels de la première transformation qui ont décidé de choisir notre savoir-faire et notre expérience dans le domaine de la production de chaleur et d’électricité à partir de la biomasse forestière et de déchets de bois non-dangereux. ».



Propos recueillis par Denis Chaumereuil


ERSCIA France à Sardy-Lès-Epiry : Quelques chiffres (Avril 2012)

- Scierie : Grumes entrantes : 300 000 m³/an de capacité (500 000 m3/an à partir de 2020)

- 167 000 m3/an de sciages produits (281500 m3/an à partir de 2020)

- Chambres de séchage : 100 000 m³/an de capacité totale (3 chambres)

- Unité de cogénération : 53,4 MWth de puissance calorifique installée

- Production d’électricité : 12 MWél de puissance installée

- Pellets en bois : 250 000 tonnes/an

- Efficacité énergétique : environ 90 %

- Investissement : 148 millions d’euros Hors Taxe

- Création d’emplois : 120 directs et environ 250 indirects

- Superficie totale : 61 hectares pour le site d’ERSCIA France

- 110 hectares pour l’ensemble du site

- Mise en service du site d’ERSCIA France : Automne 2014 


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26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 14:49

Nevers, 26 décembre 2011Sardy-Lès-Epiry deviendra d’ici 2014 le point central d’un  vaste projet de valorisation de la filière bois baptisé « Wood Valley ». Adossé à ERSCIA France, ce pôle industriel vise à concentrer une dizaine d’activités industrielles de seconde transformation du bois.


WoodValley_Logo1.jpg

 

Wood Valley : l’épicentre de la ressource mais aussi celui des marchés

 

Le pôle industriel de Sardy-Lès-Epiry (52 km au nord-est de Nevers), est situé au cœur de la Bourgogne à proximité de l’immense réserve de sapins douglas, le massif du Morvan, et surtout à l’épicentre non seulement des six principaux massifs forestiers résineux français mais également des principaux marchés français de bois transformés. Sur le point d’accueillir ERSCIA France, le plus important complexe sciage et énergie jamais réalisé sur le territoire national (les enquêtes publiques PC et ICPE vient d’être clôturées), ce site industriel d’une superficie supérieure à 100 hectares est  également calibré pour accueillir d’autres industries de la seconde transformation formant la Wood Valley française.

 

Priorité à la valorisation industrielle et locale des sciages de résineux

 

Ce pôle vise à concentrer des activités exclusivement industrielles complémentaires et proches géographiquement intégrant la filière bois (forêt, matériau bois et ses dérivés), la production d’énergie verte et les isolants thermiques naturels. Cette concentration industrielle permettra de regrouper, notamment sur le site de Sardy, des leaders européens de la transformation du bois exerçant des activités complémentaires. Les activités visées principalement regroupent, entre autres, la production de BMA (bois massifs aboutés), BMR (bois massifs reconstitués), de planchers massifs porteurs (avec et sans colles), de systèmes constructifs en bois massifs, de panneaux lamellés-collés et panneautés, de carrelets lamellés-collés, … Sept groupes industriels ont déjà manifesté leur intention de s’installer sur Wood Valley.

 

1000 emplois concernés à moyen terme

 

En termes d’emplois, l’enjeu est de taille. En créant, d'ici à deux années, 120 emplois directs et plus de 250 emplois indirects (services, maintenance, logistique, …), ERSCIA France va naturellement favoriser l’implantation de ces industries de valorisation de sa matière première (bois sciés résineux, séchés) à destination de produits aujourd’hui importés pour l’essentiel d’Allemagne ou d’Autriche. Dans le projet définitif, 50 hectares sont réservés à l’accueil de ces industries complémentaires. Plus de 400 emplois directs et 200 emplois indirects supplémentaires à ceux d’ERSCIA seront susceptibles d’être créés au sein de Wood Valley. Au total c’est donc bien 1000 emplois qui seront concernés par cette concentration industrielle.

 

Wood Valley : une offre unique de dispositifs d’aides publiques

 

Le site de Sardy-Lès-Epiry est inclus dans le zonage AFR (Aide à Finalité Régionale) donnant ainsi accès, aux industriels s’y implantant à deux dispositifs, d’aides publiques : la PAT  (Prime d’aménagement du territoire, subvention) et l’ARI (Aide au Redéploiement Industriel, aide remboursable sans garantie et pratiquement sans intérêt). Toute  implantation sur la commune de  Sardy-Lès-Epiry permettra également de bénéficier à de nombreux autres dispositifs particulièrement attractifs, notamment : des d’exonérations fiscales, l’éligibilité au FRED (Fonds pour les restructurations de la défense), au FIRT (Fonds d’Intervention pour la Revitalisation des Territoires). Par ailleurs, tout nouvel arrivant pourra prétendre à des aides sous différentes formes émanant du  Conseil Général de la Nièvre et du Conseil Régional de Bourgogne ainsi que des aides européennes via le FSE (Fonds Social Européen). Autre avantage, la Commune de Sardy-Lès-Epiry a également été intégrée par la Datar au zonage Massif Central donnant accès à d’autres aides spécifiques et à des appels à projets. Enfin le département de la Nièvre est doté d’une SEM (Société d’Economie Mixte) patrimoniale permettant le portage de projets immobiliers industriels.

 

 

Wood Valley : au cœur de la R & D et de la formation professionnelle forêt-bois

 

Pas moins de quatre organismes de Recherches & Développement et d’écoles supérieures situés dans une zone proche de Wood Valley seront en mesure  accompagner les futurs industriels en vue d’accroître leur développement et leur compétitivité. Citons, à titre d’exemple : 

 

L’ENSAM de Cluny (Ecole d’Arts & Métiers Paris Tech) : Formation d’ingénieurs à dominantes mécanique et productique orientées vers les industries du bois et de ses dérivés. L’objectif est de donner à ces ingénieurs des outils opérationnels leur permettant de maîtriser à la fois la conception, l’ingénierie des procédés de fabrication, l’organisation et la gestion de production.

 

WELANCE à Magny Cours : Centre de recherche technologique : Développement des activités de prestations et de transfert de technologie en direction des entreprises locales, régionales et nationales et spécialisé notamment dans les caractérisations mécanique, thermique et acoustique de matériaux, les essais mécaniques sur pièces et structures, les essais dynamiques sur pièces et sous ensembles (fatigue, vibrations et chocs), les études de systèmes anti-vibratoires et acoustique le dimensionnement / calculs de structures (linéaire / non linéaire).

 

Enfin sept écoles professionnelles et organismes de formations locaux et régionaux situés dans un rayon d’une soixantaine de kilomètres du pôle permettront aux industriels implantés sur Wood Valley de disposer d’un réservoir de jeunes diplômés (Bac Pro, BTS, Ingénieurs, DSAA) et formés aux spécificités de  leurs productions.

 

WoodValley_Burgundy.jpg

 

Une structure pour coordonner et développer le pôle

 

" Wood Valley Development ", structure spécifique attachée à cet environnement, sera créée début 2012 pour assurer à la fois la détection d’industriels porteurs de projets et l’accompagnement de ceux-ci dans leur démarche d’installation sur Wood Valley (intégration de leur projet, guichet unique dans leurs démarches administratives diverses, …). Cette structure assurera également la mise en place des partenariats entre ces entreprises et les différentes écoles, centres de recherche et laboratoires. Elle sera également un facilitateur pour ces nouveaux industriels dans le cadre de leur recrutement de leurs futurs collaborateurs, la mise en place de leur plan de formation, mais aussi pour l’accueil des familles  (recherches de logements, intégration sociales, etc ..).

 

Wood valley dévelopment assurera également la communication et la promotion de Wood Valley dans les différentes manifestations nationales et internationales (salons, congrès, etc ..).

 

Contacter la Wood Valley

Wood Valley : La presse en parle

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 18:08

Nevers – 13 décembre 2011Portée par ERSCIA France pour la partie industrielle et par Nièvre Aménagement pour l’aménagement du site (110 hectares), le projet de Sardy-Lès-Epiry (pôle industriel & technologique du matériau bois) s’inscrit totalement dans les postulats fondamentaux du Grenelle de l’Environnement c’est à dire assurer la cohérence écologique nationale, diminuer les émissions de gaz à effet de serre et améliorer l'efficience énergétique de la France.


Sardy_2011.jpg

Site de Sardy Les Epiry (Nièvre/Bourgogne)

Le futur complexe sera masqué en quasi totalité par une bande forestière

périphérique (35 mètres de largeur en moyenne  sur les 5 km du site)

 

Un projet intégré associant industrie et production d'énergie verte

Rappelons que, dans sa première phase, ce projet comprendra la construction de trois unités de production prévues pour être mises en service en 2014 : Une centrale électrothermique produisant de la chaleur et de l'électricité à partir de la biomasse forestière, une scierie industrielle de résineux et enfin une unité de production de biocombustible sous forme de granulés en bois, appelés aussi pellets. Il s’agit donc d’un projet totalement intégré associant l’industrie et la production d’énergie par la valorisation totale des produits secondaires issus de cette industrie.


Sardy 1671

Centrale de Burtonville (Belgique) quasi identique

à la future centrale de Sardy-Les-Epiry

 

Combustion uniquement de bois brut et de bois en fin de vie (non dangereux)

 

Concernant la centrale électrothermique, la chaleur et d’électricité seront obtenues par la combustion uniquement de bois brut et de bois  en fin de vie non dangereux issus notamment des usinages de la scierie. Cette combustion  permettra la production de vapeur entièrement utilisée pour le process, d’une part, pour sécher les bois sciés et, d’autre part, pour déshydrater les sciures et les plaquettes de bois destinés à la production de pellets.

 

Toute la production d’énergie électrique sera injectée dans le réseau  de distribution publique. 


L'équivalent de près de la moitié des besoins en électricité des habitants de la Nièvre couverts

 

Ce projet est donc exemplaire en matière d’énergie verte. Ces installations fourniront notamment  de l’électricité verte correspondant à la consommation moyenne d’environ 25 000 foyers c’est à dire près de 100 000 habitants soit – hors industrie - l’équivalent de la moitié des besoins du département de la Nièvre. Elles  produiront également 250 000 tonnes de biocombustibles sous forme de pellets/granulés en bois pouvant se substituer aux énergies fossiles en rappelant qu’une tonne de pellets équivaut à environ 500 litres de Fuel.

 

Réduction de 140 000 tonnes d'émission de gaz à effet de serre chaque année

 

Par ailleurs, compte tenu d’un rendement énergétique net qui atteindra une valeur exceptionnelle de 88%, l’unité d’ERSCIA France participera à la réduction en émissions de gaz à effet de serre de 140 000 tonnes par an, d’une part, grâce à production d’électricité verte générant une économie en émission CO2  d’environ 40 000 tonnes et d’autre part, grâce à valorisation locale de la chaleur  générant quant à elle une économie en émission CO2 de 100 000 tonnes.


Sardy Lot2.jpg
Site de sardy-Les-Epiry

© Pascal JACOB

Crédits : Blog de Pascal Jacob

Dernière mise à Jour : 13/12/2011 - 19h13

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4 novembre 2011 5 04 /11 /novembre /2011 14:40

Nevers, 4 novembre 2011 – Le débat public sur le projet de ligne à grande vitesse (LGV) Paris-Orléans-Lyon s’est ouvert le 4 octobre dernier à Clermont Ferrand. L’un des points essentiels qui sera dévoilé par RFF (Réseau Ferré de France) à l’occasion de la réunion publique prévue le 9 novembre prochain à Nevers concernera l’amélioration de l’accessibilité des territoires. Sujet évidemment essentiel pour le développement du pôle industriel de Sardy-Les-Epiry (Wood Valley) avec l’arrivée annoncée d’ERSCIA mais aussi celle probable de plusieurs grands noms de l’industrie de la seconde transformation du bois.


WVTGV.jpg

 

Wood Valley : Une concentration industrielle unique en France pour la filière bois

 

Le pôle industriel de Sardy-Lès-Epiry (situé à 52 km de Nevers), au cœur de la Bourgogne, à proximité de la plus importante réserve de pins douglas de France située sur le Morvan, est sur le point d’accueillir ERSCIA France, le plus important complexe sciage et énergie réalisé sur le territoire national. Le site industriel d’une superficie supérieure à 100 hectares est  également calibré pour accueillir d’autres industries de la seconde transformation. En effet, cette « Wood Valley » vise à constituer une concentration d’activités exclusivement industrielles complémentaires proches géographiquement intégrant la filière bois (forêt, matériau bois et ses dérivés), la production d’énergie verte et les isolants thermiques naturels. Cette concentration industrielle permettra de regrouper, notamment sur le site de Sardy, des leaders européens de la transformation du bois exerçant des activités complémentaires.

 

1000 emplois concernés à moyen terme

 

En termes d’emplois, l’enjeu est de taille. En créant 120 emplois directs et plus de 200 emplois indirects (services, maintenance, logistique, …) en 2014, ERSCIA France va naturellement favoriser l’implantation d’industries de valorisation de sa matière première (bois sciés résineux) tels que les bois reconstitués, lamibois, bois massif aboutés, entre autres, des produits aujourd’hui importés pour l’essentiel d’Allemagne ou d’Autriche . Dans le projet définitif (lui aussi soumis à enquête publique du 2 novembre au 16 décembre prochain), 50 hectares sont réservés à l’accueil de ces industries complémentaires. Plus de 400 emplois directs et 200 emplois supplémentaires à ceux d’ERSCIA sont susceptibles d’être créés au sein de WOOD VALLEY. Au total c’est donc bien 1000 emplois qui seront concernés par cette concentration industrielle.

 

Le TGV via Nevers : le tracé MEDIAN, celui du bon sens !

 

Compte tenu de la taille du site industriel et du nombre d’entreprises présentes, le pôle bois génèrera une fréquentation importante estimée à plusieurs milliers de personnes par an.

 

L’arrivée du TGV dans la Nièvre serait évidemment une aubaine pour ce site industriel. Même s’il restera une soixantaine de kilomètres à parcourir pour atteindre la gare TGV la plus proche (dans le cas des scénarios intéressants le territoire nivernais : EST et MEDIAN), soit 40 minutes, l’attractivité du pôle industriel de Sardy s’en trouvera considérablement renforcée. 

 

Parmi les scénarios proposés, le tracé EST, le plus direct de Paris à Lyon, de toute évidence est le plus attractif  parce que le plus proche du Nivernais Central et donc le plus près de Sardy-lès-Epiry.

 

Cependant, est-il raisonnable de vouloir privilégier le seul intérêt du futur site industriel au détriment de l’intérêt général des territoires concernés par ce projet structurant ?

 

Le tracé MEDIAN, le « tracé du bon sens » est de loin, celui qui répond aux besoins et aux attentes du plus grand nombre, permettant à la fois de servir les territoires de l’extrémité Est de la Région Centre, du Nord de l’Auvergne et ceux de l’ouest bourguignons tel que Sardy-lès-Epiry et la « Wood Valley ».

 

La perspective de la création d’une gare TGV en périphérie sud de l’Agglomération de Nevers permettra un accès tout aussi facile depuis le pôle bois de Sardy-lès-Epiry.

 

L’accès au TGV depuis les territoires du centre nivernais sera d’autant plus facilité que l’on aura su créer les bonnes interconnections routières et ferroviaires avec  la future gare TGV et plus particulièrement avec la voie ferrée Nevers-Dijon, voie de desserte interne  du territoire Nivernais.

 

Peut-on à ce stade caresser l’idée d’une liaison ferroviaire Corbigny- Sardy-lès-Epiry -Nevers gare TGV ? 

 

Une telle perspective ouvrirait de légitime espoirs de développement du plus important complexe bois français  mettant alors Sardy-lès-Epiry  par le fer à moins de 2 heures de Paris, Lyon et Clermont Ferrand !

 

Polc_2-copie-1.jpg    

 

© Pascal JACOB

Crédits : Blog de Pascal Jacob

Dernière mise à Jour : 04/11/2011 - 18h13

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 08:32

Nevers, 24 octobre 2011 - ERSCIA FRANCE s'apprête à franchir une étape importante dans son processus d'implantation d'une centrale électrothermique, d'une scierie industrielle et d'une unité de pelletisation à Sardy-Lès-Epiry (Nièvre) : L'enquête publique. Le permis de construire est attendu pour le début 2012.


ERSCIA 3D 1

 

Enquête Publlique ERSCIA FRANCE : L'avis d'ouverture

 

Il sera procédé, du mercredi 2 novembre 2011 au vendredi 16 décembre 2011 inclus, à deux enquêtes publiques conjointes relatives à :

 

- la demande d'autorisation d’exploiter une installation classée pour la protection de l’environnement, concernant une unité de sciage et une centrale de cogénération produisant de la chaleur et de l’électricité, et une unité de pelletisation,

 

- la demande de permis de construire d’une superficie hors œuvre brute nouvelle supérieure à 5000m2,

 

sur le territoire de la commune de SARDY-LES-EPIRY, commune non dotée d’un document d’urbanisme – lieu-dit “Bois de Tronçay”, présentées par la SAS ERSCIA France - Hôtel de Ville - Le Bourg - 58800 SARDY-LES-EPIRY, représentée par Monsieur Pascal JACOB directeur général.

 

Les dossiers respectifs, comportant une étude d'impact, pourront être consultés dans les mairies de SARDY-LES-EPIRY, PAZY, CORBIGNY, CERVON, MOURON-SUR-YONNE et LA COLLANCELLE aux heures habituelles d'ouverture des bureaux pendant toute la durée des enquêtes.

 

Suite de l'avis d'ouverture de l'enquête publique ERSCIA FRANCE

    

Qu'est-ce qu'une enquête publique ?

 

L’enquête publique vise à informer le public, recueillir, sur la base d'une présentation argumentée des enjeux et parfois d'une étude d'impact, ses avis, suggestions et éventuelles contre-propositions. Enfin, l'enquête pubique permet d'élargir les éléments nécessaires à l’information du décideur et des autorités compétentes avant toute prise de décision.

 

En France, l'enquête publique est conduite par un Commissaire enquêteur, ou par une commission d'enquête  pour les enquêtes les plus lourdes, le plus souvent désigné par le président du Tribunal administratif (c'est le cas pour ERSCIA FRANCE).

 

En général engagée par le Préfet, et organisée dans la (ou les) mairie(s) concerné(es) par le projet, l’enquête publique est ouverte à tous (sans restriction d'âge ou nationalité). Chacun peut s'y informer du projet et exprimer son avis, ses suggestions et d'éventuelles contre propositions.

 

Plus d'informations : Le code de l'environnement

 

 

© Pascal JACOB

Crédits images de synthèse : Blog de Pascal Jacob - ERSCIA FRANCE SAS

Dernière mise à Jour : 24/10/2011 09:56

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14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 07:30

Nevers, 14 septembre 2011 - L’aménagement de la zone sur laquelle s’implantera la future centrale électro-thermique d'ERSCIA France a été confié à Nièvre aménagement (SEM à capitaux publics et privés). D’une surface totale de 110 hectares, 50 hectares seront dédiés à l’implantation d’ERSCIA. Les 60 autres hectares seront scindés en plusieurs lots d’une moyenne de 5 à 6 hectares chacun et seront mis à la disposition d’industriels de la seconde transformation du bois à compter de 2012. Naissance de la "Wood Valley" française ...


Le site de Sardy-Les-Epiry, petite commune nivernaise située sur les contreforts du massif forestier du Morvan, constituera un pôle très attractif pour les industriels de seconde transformation dont la France a besoin pour le développement de son industrie du bois : Sardy offre tous les avantages d’un pôle bois aux activités intégrées d’amont vers l’aval. Tout d’abord,  la proximité  d’un fournisseur de matières premières (ERSCIA) réduisant à néant les coûts de transport de ses clients potentiels installés sur ce même site et favorisant également des accords commerciaux privilégiés entre ces partenaires.


Sardy Lot2.jpg

 

Sardy Lot1-copie-1

 

Ensuite, la position géographique centrale de Sardy sur le territoire français, la proximité de trois axes autoroutiers nord-sud (A6, A77, A71) de la  RCEA Suisse-Océan (Route Centre Europe Atlantique), un réseau routier secondaire parfaitement adapté, le raccordement au réseau ferré situé au centre même du site et, enfin, le passage d’une méga-fibre optique permettant d’atteindre un débit vertigineux de 100 Mbits/s … Ajoutons à cela la probable déserte du territoire nivernais par la future LGV Paris-Nevers-Lyon (voir notre article du 13/09/2011) Naturellement, plusieurs contacts sont d’ors et déjà établis avec des industriels de niveaux européens opérant, entre autre, sur les marchés de la transformation du bois et qui pourraient emboîter le pas d’ERSCIA très rapidement.


Pascal JACOB précise que «  … Nous avons bon espoir que ce site concentrera dans un avenir assez proche une dizaine d’industriels leaders dans leur secteur et répondant aux besoins du marché en pleine expansion des composants bois normés et pour certains de haute technologie (BMA, BMR, LVL (lamibois), KVH, …). Nous pouvons combiner ces atouts au fait que la Région Bourgogne dispose de nombreuses écoles liées au métiers du bois, des centres de formation performants et, bien sûr, l’ENSAM de Cluny que je connais bien puisque j'ai été le parrain de la promotion 2010 des gadzards formation bois. Rappelons également que l'ENSAM de Cluny vient d’ailleurs de bénéficier de moyens financiers supplémentaires provenant du Grand Emprunt. Bref, cet environnement constituera véritablement l’épicentre de la « Wood Valley » française, dont les frontières ne doivent naturellement pas se limiter au seul site de Sardy et au seul département de la Nièvre ... ».

En effet, nous pourrions parfaitement imaginer qu’autour de ce site - mais aussi d’autres existants en Bourgogne à vocation industrielle - de réaliser un regroupement d’entreprises et d’institutions liées à la connaissance du matériau bois (écoles, universités, centres de recherches, laboratoires…) proches géographiquement, qui partagent ce même domaine de compétences et qui travaillent en complémentarité. Les objectifs étant simples : mettre en réseau les différents acteurs de la filière, améliorer la productivité des entreprises, accroître leur capacité d’innovation et enfin favoriser, au travers d’un marketing territorial fort, le développement de l’emploi dans les entreprises du secteur.

Wood Valley 3

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Enfin, tout aussi déterminant que la position géographique centrale de cette Wood Valley, sa proximité de la ressource forestière et la présence de "premiers-transformateurs" dans un périmètre restreint (moins de 60 km), le zonage PAT (Prime d'Aménagement du Territoire) dans lequel le site de Sardy a été intégré au début de cette année offre aux porteurs de projet des possibilités d'aides financières très alléchantes (plus de détails sur le dispositif PAT).

A cela s'ajoute plusieurs autres possibilités d'aides directes ou indirectes (exonérations fiscales, interventions des collectivités territoriales, de la Région, du département, Fonds de restructuration de la Défense, aide au redéploiement industriel, dispositifs dans la périphérie du Grand Emprunt National, etc ... Plus d'information sur ces dispositifs).

Pour toutes informations complémentaires, Le département de la Nièvre dispose d'un guichet unique d'accueil des porteurs de projets dans le domaine de la filière bois

 

© Pascal JACOB

Crédits photos : Blog de Pascal Jacob - Pascal Jacob

Dernière mise à Jour : 14/09/2011 15:26

 

 

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9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 06:56

Nevers, 9 septembre 2011 - Le TGV à Nevers ou dans ses proches environs est une opportunité historique pour ce territoire et ses entreprises. Nous savons tous qu'en matière de dynamisme économique, la concurrence des territoires situés à 200 Km de Paris est terrible et ne penche pas actuellement en faveur de cette ville. Sans le TGV la Nièvre et sa préfecture ne joueront jamais dans la même cour que les territoires desservis par cette infrastructure et qui trouvent, ainsi, de nouvelles opportunités de développement et de croissance donc de création d’emplois. 

 

Les enjeux et les conséquences économiques  qui résulteront de l'arrivée possible de la future LGV Paris-Orléans-Clermont-Lyon (POCL) à Nevers seront considérables.  Il faut rappeler ici  la position extraordinaire de NEVERS dans le cadre de cette nouvelle perspective : La préfecture de la Nièvre ne serait plus séparée que de 50 minutes de non seulement de PARIS mais également de LYON et CLERMONT FERRAND ...


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Source : www.lgv-polc.fr

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Parmi toutes les métropoles régionales situées au sud d’Orléans potentiellement concernées par le passage de cette LGV, c’est bien Nevers et sa région qui ont, économiquement, le plus besoin de cette infrastructure. C’est également Nevers,  la Nièvre et notamment son axe ligérien qui disposent de la marge de progression la plus importante en terme de développement et de création d’entreprises, de croissance et, par conséquent, d’emplois.

 

Ce projet de Ligne à Grande Vitesse doit également se soucier des impératifs économiques en cette période de raréfaction des finances publiques. Pour cela il lui faut respecter les contraintes inhérentes à la géographie et rechercher les solutions, à mon sens, sources d'économie.

 

J’ajoute que les hommes, de tout temps, ont toujours construit en tenant compte de la nature qui les entoure. Le progrès des machines ne doit pas faire oublier le bon sens. Alors que la Loire naturellement puis la nationale 7 ensuite démontrent bien cette adaptabilité et ce respect. Un tracé « contre nature » n’irait pas dans le sens d’une écologie responsable …

 

Alors que nous sommes de plus en plus sollicités, tant comme individu que comme citoyen pour participer et favoriser toute action de développement durable notamment par des économies d’énergie au quotidien, nous ne pourrions pas comprendre qu’un gain même de quelques minutes de parcours d’un TGV multiplié par le nombre d’aller/retour ne puisse pas retenir l’attention d’une économie cumulée d’une telle importance …

 

Il appartient, par conséquent, à ceux et à celles animés par l'aboutissement de ce projet de défendre le seul tracé qui s'impose : celui empruntant la voie royale par référence au fleuve La Loire dont la future ligne devra plus ou moins se rapprocher dans sa traversée du Sud-ouest de la Bourgogne et du Nord de la région Rhône Alpes. L’axe royal Paris-Méditerranée, que je qualifie de « tracé du bon sens » devra par conséquent desservir : Orléans, Bourges et Nevers.

 

 

Pascal JACOB, Chef d’entreprise

Président du MEDEF Nièvre et du MEDEF Bourgogne

Membre de la Conférence de la Ruralité au titre des secteurs économiques, associatifs et familiaux

 

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Source : www.lgv-polc.fr

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Télécharger l'intégralité du dossier LGV POLC (Colloque public du 25 février 2011 à Clermont Ferrand)

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